Аполлон, убивающий ящерицу

Поделись знанием:
Перейти к: навигация, поиск
Аполлон, убивающий ящерицу
Мрамор
Лувр, Париж

«Аполлон, убивающий ящерицу» (Сауроктон) — выставленная в Лувре мраморная фигура нагого юноши рядом с деревом, по которому ползёт ящерица. Изготовлена в первые столетия Римской империи с утраченного бронзового оригинала, который Плиний Старший приписывает Праксителю. Ящерица, по-видимому, символизирует Пифона.

Со времён Шипионе Боргезе и до покупки собрания Боргезе императором Наполеоном в 1807 году статуя служила одним из «гвоздей» виллы Боргезе в Риме. В настоящее время известны ещё две статуи «сауроктонов», из которых одна — в музее Пия-Климента, а вторая — в Художественном музее Кливленда.

Напишите отзыв о статье "Аполлон, убивающий ящерицу"



Литература

  • Wolfgang Geominy: Praxiteles (II), in Künstlerlexikon der Antike, Bd. 2, München/Leipzig 2004, S. 305—319
  • Matthias Schulz: Waldgeist im Fischernetz. in: Der Spiegel. Hamburg 2007, Nr. 22, S. 138ff.
  • Jean-Luc Martinez, L’Apollon sauroctone, in Praxitèle. Catalogue de l’exposition au musée du Louvre, 23 mars-18 juin 2007, Paris 2007, S. 203—235.
  • Bernard Holtzmann et Alain Pasquier, Histoire de l’art antique : l’art grec, la Documentation française, la Réunion des musées nationaux et l'École du Louvre (ISBN 2-11-003866-7), p. 212—213.
  • Brunilde Sismondo Ridgway, Fourth-Century Styles in Greek Sculpture, University of Wisconsin Press, Madison, 1997 (ISBN 0-299-15470-X), p. 265.
  • Claude Rolley, La Sculpture grecque, vol. II : La période classique, Picard, Manuels d’art et d’archéologie antiques, 1999 (ISBN 2-7084-0506-3), p. 248—250.

Ссылки

  • На Викискладе есть медиафайлы по теме Аполлон, убивающий ящерицу
  • [cartelen.louvre.fr/cartelen/visite?srv=car_not_frame&idNotice=20235 «Аполлон, убивающий ящерицу»] в базе данных Лувра (фр.)
  • [www.clevelandart.org/exhibcef/apollo/html/ «Аполлон, убивающий ящерицу»] на сайте Художественного музея Кливленда

Отрывок, характеризующий Аполлон, убивающий ящерицу

«Chere et excellente ami. Votre lettre du 13 m'a cause une grande joie. Vous m'aimez donc toujours, ma poetique Julie.
L'absence, dont vous dites tant de mal, n'a donc pas eu son influenсе habituelle sur vous. Vous vous plaignez de l'absence – que devrai je dire moi, si j'osais me plaindre, privee de tous ceux qui me sont chers? Ah l si nous n'avions pas la religion pour nous consoler, la vie serait bien triste. Pourquoi me supposez vous un regard severe, quand vous me parlez de votre affection pour le jeune homme? Sous ce rapport je ne suis rigide que pour moi. Je comprends ces sentiments chez les autres et si je ne puis approuver ne les ayant jamais ressentis, je ne les condamiene pas. Me parait seulement que l'amour chretien, l'amour du prochain, l'amour pour ses ennemis est plus meritoire, plus doux et plus beau, que ne le sont les sentiments que peuvent inspire les beaux yeux d'un jeune homme a une jeune fille poetique et aimante comme vous.
«La nouvelle de la mort du comte Безухой nous est parvenue avant votre lettre, et mon pere en a ete tres affecte. Il dit que c'etait avant derienier representant du grand siecle, et qu'a present c'est son tour; mais qu'il fera son possible pour que son tour vienne le plus tard possible. Que Dieu nous garde de ce terrible malheur! Je ne puis partager votre opinion sur Pierre que j'ai connu enfant. Il me paraissait toujours avoir un coeur excellent, et c'est la qualite que j'estime le plus dans les gens. Quant a son heritage et au role qu'y a joue le prince Basile, c'est bien triste pour tous les deux. Ah! chere amie, la parole de notre divin Sauveur qu'il est plus aise a un hameau de passer par le trou d'une aiguille, qu'il ne l'est a un riche d'entrer dans le royaume de Dieu, cette parole est terriblement vraie; je plains le prince Basile et je regrette encore davantage Pierre. Si jeune et accable de cette richesse, que de tentations n'aura t il pas a subir! Si on me demandait ce que je desirerais le plus au monde, ce serait d'etre plus pauvre que le plus pauvre des mendiants. Mille graces, chere amie, pour l'ouvrage que vous m'envoyez, et qui fait si grande fureur chez vous. Cependant, puisque vous me dites qu'au milieu de plusurs bonnes choses il y en a d'autres que la faible conception humaine ne peut atteindre, il me parait assez inutile de s'occuper d'une lecture inintelligible, qui par la meme ne pourrait etre d'aucun fruit. Je n'ai jamais pu comprendre la passion qu'ont certaines personnes de s'embrouiller l'entendement, en s'attachant a des livres mystiques, qui n'elevent que des doutes dans leurs esprits, exaltant leur imagination et leur donnent un caractere d'exageration tout a fait contraire a la simplicite chretnne. Lisons les Apotres et l'Evangile. Ne cherchons pas a penetrer ce que ceux la renferment de mysterux, car, comment oserions nous, miserables pecheurs que nous sommes, pretendre a nous initier dans les secrets terribles et sacres de la Providence, tant que nous portons cette depouille charienelle, qui eleve entre nous et l'Eterienel un voile impenetrable? Borienons nous donc a etudr les principes sublimes que notre divin Sauveur nous a laisse pour notre conduite ici bas; cherchons a nous y conformer et a les suivre, persuadons nous que moins nous donnons d'essor a notre faible esprit humain et plus il est agreable a Dieu, Qui rejette toute science ne venant pas de Lui;que moins nous cherchons a approfondir ce qu'il Lui a plu de derober a notre connaissance,et plutot II nous en accordera la decouverte par Son divin esprit.