Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес (титулярная церковь)

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Титулярная церковь Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес (лат. Titulum Beatae Mariae Virginis Perdolentis ad forum Bonaerense) — титулярная церковь была создана Папой Павлом VI 7 июня 1967 года апостольской конституцией Sunt hic Romae. Титул принадлежит церкви Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес, расположенной в квартале Рима Триесте, на площади Буэнос-Айреса, которая является национальной церковью аргентинцев в Риме.

Церковь, которой передан титул была основана аргентинским священником монсеньором Хосе Леоном Гальярдо благодаря его исключительному экономическуму вкладу. Первый камень был заложен 9 июня 1910 года, так как не было возможности сделать это на 25 мая — столетие независимости Аргентины. В церемонии приняла участие госпожа Саенс Пенья, жена президента Аргентины. Чтобы закончить строительство, потребовалось 20 лет. Церковь была открыта в 1930 году. До 1989 года церковь была в ведении отцов мерседариев, сегодня управляется аргентинским епархиальным клиром.



Список кардиналов-священников титулярной церкви Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес

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Ссылки

  • [www.gcatholic.org/churches/cardinal/199.htm Титулярная церковь Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес на сайте www.gcatholic.org];
  • [www.vatican.va/holy_father/paul_vi/apost_constitutions/documents/hf_p-vi_apc_19670607_urbis-beatae-mariae_lt.html Апостольская конституция Sunt hic Romae].

Отрывок, характеризующий Беата-Мария-Верджине-Аддолората-а-пьяцца-Буэнос-Айрес (титулярная церковь)

«Depuis nos grands succes d'Austerlitz vous savez, mon cher Prince, писал Билибин, que je ne quitte plus les quartiers generaux. Decidement j'ai pris le gout de la guerre, et bien m'en a pris. Ce que j'ai vu ces trois mois, est incroyable.
«Je commence ab ovo. L'ennemi du genre humain , comme vous savez, s'attaque aux Prussiens. Les Prussiens sont nos fideles allies, qui ne nous ont trompes que trois fois depuis trois ans. Nous prenons fait et cause pour eux. Mais il se trouve que l'ennemi du genre humain ne fait nulle attention a nos beaux discours, et avec sa maniere impolie et sauvage se jette sur les Prussiens sans leur donner le temps de finir la parade commencee, en deux tours de main les rosse a plate couture et va s'installer au palais de Potsdam.
«J'ai le plus vif desir, ecrit le Roi de Prusse a Bonaparte, que V. M. soit accueillie еt traitee dans mon palais d'une maniere, qui lui soit agreable et c'est avec еmpres sement, que j'ai pris a cet effet toutes les mesures que les circonstances me permettaient. Puisse je avoir reussi! Les generaux Prussiens se piquent de politesse envers les Francais et mettent bas les armes aux premieres sommations.
«Le chef de la garienison de Glogau avec dix mille hommes, demande au Roi de Prusse, ce qu'il doit faire s'il est somme de se rendre?… Tout cela est positif.
«Bref, esperant en imposer seulement par notre attitude militaire, il se trouve que nous voila en guerre pour tout de bon, et ce qui plus est, en guerre sur nos frontieres avec et pour le Roi de Prusse . Tout est au grand complet, il ne nous manque qu'une petite chose, c'est le general en chef. Comme il s'est trouve que les succes d'Austerlitz aurant pu etre plus decisifs si le general en chef eut ete moins jeune, on fait la revue des octogenaires et entre Prosorofsky et Kamensky, on donne la preference au derienier. Le general nous arrive en kibik a la maniere Souvoroff, et est accueilli avec des acclamations de joie et de triomphe.