Бергер, Михаил Аркадьевич

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Михаил Аркадьевич Бергер
Дата рождения

28 августа 1909(1909-08-28)

Место рождения

Минск, Российская империя

Дата смерти

6 февраля 1981(1981-02-06) (71 год)

Место смерти

Минск, Белорусская ССР, СССР

Страна

СССР СССР

Профессии

пианист, педагог

Инструменты

фортепиано

Награды

Заслуженный артист Белорусской ССР

Михаил Аркадьевич Бергер (28 августа 1909, Минск — 6 февраля 1981, Минск) — советский пианист, педагог. Заслуженный артист Белорусской ССР (1940). Профессор (1946). Один из основателей белорусской пианистической школы.



Биография

Окончил Белорусский музыкальный техникум (1928) и Ленинградскую консерваторию (1933). С 1937 года преподавал в Белорусской консерватории: директор (1937—1941), заведующий кафедрой специального фортепиано (1944—1963), заведующий кафедрой концертмейстерского мастерства (1970—1978). Во время Великой Отечественной войны возглавлял фронтовую концертную бригаду.

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Литература

  • Энцыклапедыя лiтаратуры i мастацтва Беларусi : в 5-ти томах. — Т. 1. — С. 429.
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Отрывок, характеризующий Бергер, Михаил Аркадьевич

«Je commence ab ovo. L'ennemi du genre humain , comme vous savez, s'attaque aux Prussiens. Les Prussiens sont nos fideles allies, qui ne nous ont trompes que trois fois depuis trois ans. Nous prenons fait et cause pour eux. Mais il se trouve que l'ennemi du genre humain ne fait nulle attention a nos beaux discours, et avec sa maniere impolie et sauvage se jette sur les Prussiens sans leur donner le temps de finir la parade commencee, en deux tours de main les rosse a plate couture et va s'installer au palais de Potsdam.
«J'ai le plus vif desir, ecrit le Roi de Prusse a Bonaparte, que V. M. soit accueillie еt traitee dans mon palais d'une maniere, qui lui soit agreable et c'est avec еmpres sement, que j'ai pris a cet effet toutes les mesures que les circonstances me permettaient. Puisse je avoir reussi! Les generaux Prussiens se piquent de politesse envers les Francais et mettent bas les armes aux premieres sommations.
«Le chef de la garienison de Glogau avec dix mille hommes, demande au Roi de Prusse, ce qu'il doit faire s'il est somme de se rendre?… Tout cela est positif.
«Bref, esperant en imposer seulement par notre attitude militaire, il se trouve que nous voila en guerre pour tout de bon, et ce qui plus est, en guerre sur nos frontieres avec et pour le Roi de Prusse . Tout est au grand complet, il ne nous manque qu'une petite chose, c'est le general en chef. Comme il s'est trouve que les succes d'Austerlitz aurant pu etre plus decisifs si le general en chef eut ete moins jeune, on fait la revue des octogenaires et entre Prosorofsky et Kamensky, on donne la preference au derienier. Le general nous arrive en kibik a la maniere Souvoroff, et est accueilli avec des acclamations de joie et de triomphe.