Веннерстрём, Мария

Поделись знанием:
Перейти к: навигация, поиск
Мария Веннерстрём
Личная информация
Пол

женский

Гражданство

Швеция Швеция

Дата рождения

4 октября 1985(1985-10-04) (38 лет)

Место рождения

Шеллефтео, Вестерботтен, Швеция

Рост

1,70 м

Мария Веннерстрём (швед. Maria Wennerström; 4 октября 1985, Шеллефтео, Вестерботтен) — шведская кёрлингистка. Специализируется второй в национальной сборной Швеции.[1][2]

Она участвовала в четырех чемпионатах Европы и трёх чемпионатах мира. Мария будет представлять свою страну в Олимпийских играх 2014.[3]



Команда

Сочи Олимпийских играх 2014

Напишите отзыв о статье "Веннерстрём, Мария"

Примечания

  1. [results.worldcurling.org/Person.aspx?id=1740 Maria Wennerström]
  2. [www.zimbio.com/photos/Maria+Wennerstrom/World+Women+Curling+Championship+Day+Nine/wA1Bt4EZSAD Maria Wennerstrom Photos — World Women's Curling Championship — Day Nine — Zimbio]
  3. [www.sok.se/aktiva/aktiva/mariawennerstrom.5.2635f3a9137d893573c222a.html Maria Wennerström — Sveriges Olympiska Kommitté]
  4. [www.worldcurl.com/player.php?playerid=17977 World Curling Tour]

Отрывок, характеризующий Веннерстрём, Мария


Билибин находился теперь в качестве дипломатического чиновника при главной квартире армии и хоть и на французском языке, с французскими шуточками и оборотами речи, но с исключительно русским бесстрашием перед самоосуждением и самоосмеянием описывал всю кампанию. Билибин писал, что его дипломатическая discretion [скромность] мучила его, и что он был счастлив, имея в князе Андрее верного корреспондента, которому он мог изливать всю желчь, накопившуюся в нем при виде того, что творится в армии. Письмо это было старое, еще до Прейсиш Эйлауского сражения.
«Depuis nos grands succes d'Austerlitz vous savez, mon cher Prince, писал Билибин, que je ne quitte plus les quartiers generaux. Decidement j'ai pris le gout de la guerre, et bien m'en a pris. Ce que j'ai vu ces trois mois, est incroyable.
«Je commence ab ovo. L'ennemi du genre humain , comme vous savez, s'attaque aux Prussiens. Les Prussiens sont nos fideles allies, qui ne nous ont trompes que trois fois depuis trois ans. Nous prenons fait et cause pour eux. Mais il se trouve que l'ennemi du genre humain ne fait nulle attention a nos beaux discours, et avec sa maniere impolie et sauvage se jette sur les Prussiens sans leur donner le temps de finir la parade commencee, en deux tours de main les rosse a plate couture et va s'installer au palais de Potsdam.
«J'ai le plus vif desir, ecrit le Roi de Prusse a Bonaparte, que V. M. soit accueillie еt traitee dans mon palais d'une maniere, qui lui soit agreable et c'est avec еmpres sement, que j'ai pris a cet effet toutes les mesures que les circonstances me permettaient. Puisse je avoir reussi! Les generaux Prussiens se piquent de politesse envers les Francais et mettent bas les armes aux premieres sommations.
«Le chef de la garienison de Glogau avec dix mille hommes, demande au Roi de Prusse, ce qu'il doit faire s'il est somme de se rendre?… Tout cela est positif.
«Bref, esperant en imposer seulement par notre attitude militaire, il se trouve que nous voila en guerre pour tout de bon, et ce qui plus est, en guerre sur nos frontieres avec et pour le Roi de Prusse . Tout est au grand complet, il ne nous manque qu'une petite chose, c'est le general en chef. Comme il s'est trouve que les succes d'Austerlitz aurant pu etre plus decisifs si le general en chef eut ete moins jeune, on fait la revue des octogenaires et entre Prosorofsky et Kamensky, on donne la preference au derienier. Le general nous arrive en kibik a la maniere Souvoroff, et est accueilli avec des acclamations de joie et de triomphe.