Дзивинский, Плацид

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Плацид Дзивинский
Placyd Zdzisław Dziwiński
Дата рождения:

5 ноября 1851(1851-11-05)

Место рождения:

Пеньковцы (Галиция) ныне Подволочисский район,Тернопольская область

Дата смерти:

13 июля 1936(1936-07-13) (84 года)

Место смерти:

Львов, Польша

Научная сфера:

математик

Плацид Здислав Дзивинский (польск. Placyd Zdzisław Dziwiński) (5 ноября 1851 в Пеньковцах возле Збаража в Галиции, (Австро-Венгрия) — 13 июля 1936 во Львовe) — польский математик.

В 18861925профессор математики Львовской Политехники, был деканом машиностроительного факультета и факультета технической химии.

В 18931894ректор Львовского политехнического института.

С 1925 — на пенсии, в 1926 ему было присвоено звание почетного профессора Львовского политехнического института.

В конце XIX в. проводил исследования по истории польской математики.

Был членом Политехнического общества во Львове. Возглавлял редакцию технического журнала. Являлся одним из основателей и действительным членом Общества содействия развитию польской науки в Львове.

Автор ряда учебников для средних и высших учебных заведений и трудов по истории математики.

Умер во Львове и похоронен на Лычаковском кладбище.



Отдельные труды

  • Liczby kierunkowe, ich znaczenie i za stosowanie w matematyce. Kraków, 1882
  • Zasady algebry dla wyższych klas gimnazyów i szkół realnych. Lwów, 1891
  • Podręcznik arytmetyki i algebry dla średniego i wyższego stopnia nauki w gimnazyach i szkołach realnych. Lwów, Towarzystwo Nauczycieli Szkół Wyższych, 1910

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Ссылки

  • [lp.edu.ua/index.php?id=3005&L=2 Honorary Professors of Lviv Polytechnic Universit 1925 Почетные профессора Университета «Львовская Политехника»]
  • [www.jezuici.krakow.pl/cgi-bin/rjbo?b=wftj&q=algebra&f=70]
  • [dlibra.up.krakow.pl:8080/dlibra/dlibra/docmetadata?id=1749]

Отрывок, характеризующий Дзивинский, Плацид

«Tout Moscou ne parle que guerre. L'un de mes deux freres est deja a l'etranger, l'autre est avec la garde, qui se met en Marieche vers la frontiere. Notre cher еmpereur a quitte Petersbourg et, a ce qu'on pretend, compte lui meme exposer sa precieuse existence aux chances de la guerre. Du veuille que le monstre corsicain, qui detruit le repos de l'Europe, soit terrasse par l'ange que le Tout Рuissant, dans Sa misericorde, nous a donnee pour souverain. Sans parler de mes freres, cette guerre m'a privee d'une relation des plus cheres a mon coeur. Je parle du jeune Nicolas Rostoff, qui avec son enthousiasme n'a pu supporter l'inaction et a quitte l'universite pour aller s'enroler dans l'armee. Eh bien, chere Marieie, je vous avouerai, que, malgre son extreme jeunesse, son depart pour l'armee a ete un grand chagrin pour moi. Le jeune homme, dont je vous parlais cet ete, a tant de noblesse, de veritable jeunesse qu'on rencontre si rarement dans le siecle оu nous vivons parmi nos villards de vingt ans. Il a surtout tant de franchise et de coeur. Il est tellement pur et poetique, que mes relations avec lui, quelque passageres qu'elles fussent, ont ete l'une des plus douees jouissances de mon pauvre coeur, qui a deja tant souffert. Je vous raconterai un jour nos adieux et tout ce qui s'est dit en partant. Tout cela est encore trop frais. Ah! chere amie, vous etes heureuse de ne pas connaitre ces jouissances et ces peines si poignantes. Vous etes heureuse, puisque les derienieres sont ordinairement les plus fortes! Je sais fort bien, que le comte Nicolas est trop jeune pour pouvoir jamais devenir pour moi quelque chose de plus qu'un ami, mais cette douee amitie, ces relations si poetiques et si pures ont ete un besoin pour mon coeur. Mais n'en parlons plus. La grande nouvelle du jour qui occupe tout Moscou est la mort du vieux comte Безухой et son heritage. Figurez vous que les trois princesses n'ont recu que tres peu de chose, le prince Basile rien, est que c'est M. Pierre qui a tout herite, et qui par dessus le Marieche a ete reconnu pour fils legitime, par consequent comte Безухой est possesseur de la plus belle fortune de la Russie. On pretend que le prince Basile a joue un tres vilain role dans toute cette histoire et qu'il est reparti tout penaud pour Petersbourg.