Реквием (Ульсон)
Реквием (лат. Requiem) соль минор Op. 13 — произведение для солистов (сопрано, контральто, тенор и бас), хора и оркестра шведского композитора Отто Ульсона.
Ульсон начал работу над Реквиемом в конце 1901 года и завершил в 1903 году. Сочинение написано на канонический латинский текст и состоит из 10 частей:
- Requiem
- Kyrie
- Dies irae
- Rex tremendae
- Recordare
- Confutatis
- Domine Jesu
- Hostias
- Sanctus
- Agnus Dei
Общая продолжительность звучания 65-67 минут.
В музыке Реквиема, как и вообще в композициях Ульсона, отмечается влияние французской позднеромантической школы в лице Сезара Франка, Шарля Мари Видора и Луи Вьерна; критика сопоставляет Реквием также с Реквиемом Верди и «Немецким реквиемом» Брамса, отмечая, что Ульсон, в целом, выдерживает более лёгкое и светлое настроение, чем у Брамса, и не уклоняется в сторону несколько оперного блеска, свойственного Верди[1].
По неясным причинам Реквием Ульсона так и не был исполнен при жизни композитора и впервые прозвучал лишь спустя 73 года после его создания и 12 лет после смерти Ульсона, в 1976 г., в ходе торжеств по случаю 75-летия шведского Общества церковной музыки.
Напишите отзыв о статье "Реквием (Ульсон)"
Примечания
- ↑ [www.musicweb-international.com/classrev/2006/feb06/Olsson_Requiem_PRSACD9086.htm Göran Forsling. Otto OLSSON (1879—1964). Requiem] // Musicweb International (англ.)
Отрывок, характеризующий Реквием (Ульсон)
«J'ai le plus vif desir, ecrit le Roi de Prusse a Bonaparte, que V. M. soit accueillie еt traitee dans mon palais d'une maniere, qui lui soit agreable et c'est avec еmpres sement, que j'ai pris a cet effet toutes les mesures que les circonstances me permettaient. Puisse je avoir reussi! Les generaux Prussiens se piquent de politesse envers les Francais et mettent bas les armes aux premieres sommations.«Le chef de la garienison de Glogau avec dix mille hommes, demande au Roi de Prusse, ce qu'il doit faire s'il est somme de se rendre?… Tout cela est positif.
«Bref, esperant en imposer seulement par notre attitude militaire, il se trouve que nous voila en guerre pour tout de bon, et ce qui plus est, en guerre sur nos frontieres avec et pour le Roi de Prusse . Tout est au grand complet, il ne nous manque qu'une petite chose, c'est le general en chef. Comme il s'est trouve que les succes d'Austerlitz aurant pu etre plus decisifs si le general en chef eut ete moins jeune, on fait la revue des octogenaires et entre Prosorofsky et Kamensky, on donne la preference au derienier. Le general nous arrive en kibik a la maniere Souvoroff, et est accueilli avec des acclamations de joie et de triomphe.
«Le 4 arrive le premier courrier de Petersbourg. On apporte les malles dans le cabinet du Marieechal, qui aime a faire tout par lui meme. On m'appelle pour aider a faire le triage des lettres et prendre celles qui nous sont destinees. Le Marieechal nous regarde faire et attend les paquets qui lui sont adresses. Nous cherchons – il n'y en a point. Le Marieechal devient impatient, se met lui meme a la besogne et trouve des lettres de l'Empereur pour le comte T., pour le prince V. et autres. Alors le voila qui se met dans une de ses coleres bleues. Il jette feu et flamme contre tout le monde, s'empare des lettres, les decachete et lit celles de l'Empereur adressees a d'autres. А, так со мною поступают! Мне доверия нет! А, за мной следить велено, хорошо же; подите вон! Et il ecrit le fameux ordre du jour au general Benigsen