Яропольская волость

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Яропольская волость — волость в составе Волоколамского уезда Московской губернии. Существовала до 1929 года. Центром волости было село Ярополец.

Под данным 1890 года в волости проживало 3942 чел. В селе Ярополец размещались волостное правление, камера мирового судьи, почтовая станция и земское училище; в селе Спасском — квартира поицейского урядника и земское училище. Также земские училища были в деревнях Львово, Мусино, Ханево и селе Суворово[1].

В 1920 году в Яропольце при помощи В. И. Ленина была открыта первая в России сельская ГЭС. Благодаря ей Яропольская волость стала первой в стране электрифицированной волостью.

По данным 1922 года в Яропольской волости было 15 сельсоветов: Гусевский, Ильинский, Исаковский, Львовский, Мало-Сырковский, Мусинский, Парфеньковский, Петровский, Путятинский, Спасский, Суворовский, Шиловский, Шишковский, Юркинский и Ярополецкий. В 1924 году были образованы Алферьевский, Владычинский, Захарьинский, Кашинский, Масленниковский, Новинковский и Ханевский с/с. В 1925 году Гусевский с/с был переименован в Гарутинский, Петровский — в Ревинский, Исаковский — в Больше-Исаковский, Путятинский — в Щёкинский. В 1926 году Ревинский с/с был переименован в Петровский, а Гарутинский — в Гарутин-Гусевский. в 1927 году Гарутин-Гусевский с/с был разделён на Гарутинский и Гусевский с/с; были образованы Путятинский и Телегинский с/с. В 1929 году Юркинский с/с был переименован Больше-Сырковский, а Масленниковский — в Козловский[2].

В ходе реформы административно-территориального деления СССР в 1929 году Яропольская волость была упразднена, а её территория вошла в состав Волоколамского района.

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Примечания

  1. Справочная книжка Московской губернии / А. П. Шрамченко. — М., 1890. — С. 168. — 420 с.
  2. Справочник по административно-территориальному делению Московской губернии (1917—1929 гг.) / Кобяков А. А.. — М., 1980. — 554 с. — 500 экз.

Отрывок, характеризующий Яропольская волость

«Chere et excellente ami. Votre lettre du 13 m'a cause une grande joie. Vous m'aimez donc toujours, ma poetique Julie.
L'absence, dont vous dites tant de mal, n'a donc pas eu son influenсе habituelle sur vous. Vous vous plaignez de l'absence – que devrai je dire moi, si j'osais me plaindre, privee de tous ceux qui me sont chers? Ah l si nous n'avions pas la religion pour nous consoler, la vie serait bien triste. Pourquoi me supposez vous un regard severe, quand vous me parlez de votre affection pour le jeune homme? Sous ce rapport je ne suis rigide que pour moi. Je comprends ces sentiments chez les autres et si je ne puis approuver ne les ayant jamais ressentis, je ne les condamiene pas. Me parait seulement que l'amour chretien, l'amour du prochain, l'amour pour ses ennemis est plus meritoire, plus doux et plus beau, que ne le sont les sentiments que peuvent inspire les beaux yeux d'un jeune homme a une jeune fille poetique et aimante comme vous.
«La nouvelle de la mort du comte Безухой nous est parvenue avant votre lettre, et mon pere en a ete tres affecte. Il dit que c'etait avant derienier representant du grand siecle, et qu'a present c'est son tour; mais qu'il fera son possible pour que son tour vienne le plus tard possible. Que Dieu nous garde de ce terrible malheur! Je ne puis partager votre opinion sur Pierre que j'ai connu enfant. Il me paraissait toujours avoir un coeur excellent, et c'est la qualite que j'estime le plus dans les gens. Quant a son heritage et au role qu'y a joue le prince Basile, c'est bien triste pour tous les deux. Ah! chere amie, la parole de notre divin Sauveur qu'il est plus aise a un hameau de passer par le trou d'une aiguille, qu'il ne l'est a un riche d'entrer dans le royaume de Dieu, cette parole est terriblement vraie; je plains le prince Basile et je regrette encore davantage Pierre. Si jeune et accable de cette richesse, que de tentations n'aura t il pas a subir! Si on me demandait ce que je desirerais le plus au monde, ce serait d'etre plus pauvre que le plus pauvre des mendiants. Mille graces, chere amie, pour l'ouvrage que vous m'envoyez, et qui fait si grande fureur chez vous. Cependant, puisque vous me dites qu'au milieu de plusurs bonnes choses il y en a d'autres que la faible conception humaine ne peut atteindre, il me parait assez inutile de s'occuper d'une lecture inintelligible, qui par la meme ne pourrait etre d'aucun fruit. Je n'ai jamais pu comprendre la passion qu'ont certaines personnes de s'embrouiller l'entendement, en s'attachant a des livres mystiques, qui n'elevent que des doutes dans leurs esprits, exaltant leur imagination et leur donnent un caractere d'exageration tout a fait contraire a la simplicite chretnne. Lisons les Apotres et l'Evangile. Ne cherchons pas a penetrer ce que ceux la renferment de mysterux, car, comment oserions nous, miserables pecheurs que nous sommes, pretendre a nous initier dans les secrets terribles et sacres de la Providence, tant que nous portons cette depouille charienelle, qui eleve entre nous et l'Eterienel un voile impenetrable? Borienons nous donc a etudr les principes sublimes que notre divin Sauveur nous a laisse pour notre conduite ici bas; cherchons a nous y conformer et a les suivre, persuadons nous que moins nous donnons d'essor a notre faible esprit humain et plus il est agreable a Dieu, Qui rejette toute science ne venant pas de Lui;que moins nous cherchons a approfondir ce qu'il Lui a plu de derober a notre connaissance,et plutot II nous en accordera la decouverte par Son divin esprit.