56-й моторизованный корпус (Третий рейх)

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56-й моторизованный корпус
LVI. Armeekorps (mot.)

Отряд немецких танковых войск в Латвии. На переднем плане танк Panzer III и бронетранспортер Sd Kfz 251. Восточный фронт. Июнь 1941
Годы существования

февраль 1941 — февраль 1942

Страна

Германия

Войны

Восточный поход

Командиры
Известные командиры

Эрих фон Манштейн
Фердинанд Шааль

56-й моторизованный корпус (нем. LVI. Armeekorps (mot.)), сформирован 15 февраля 1941 года.

1 марта 1942 года переименован в 56-й танковый корпус.





Боевой путь корпуса

С 22 июня 1941 года — участие в германо-советской войне, в составе 4-й танковой группы группы армий «Север». Бои в Прибалтике, затем под Ленинградом.

Со 2 июля 1941 года наступает через Резекне в направлении ОстровПсков.

С 10 июля участвует в наступательных действиях на Новгородском направлении, 13 июля занял Сольцы и 14 июля вышел к реке Мшага в районе Шимска. В середине июля в результате контрудара советских войск входившая в состав корпуса 8-я танковая дивизия попала в окружение и прорывалась через Сольцы на запад. 3-я моторизованная дивизия отступила, отрываясь от атакующих частей 11-й армии.

С октября 1941 — в составе группы армий «Центр».

В полосе 19-й армии удар наибольшей силы пришелся по частям 244-й стрелковой дивизии, занимавшей оборону на стыке с 30-й армией. На 244-ю стрелковую дивизию вели наступление 35-я и 5-я и 106-я пехотные дивизии 5-го армейского корпуса. Этот корпус прикрывал правый фланг наступающего на Вязьму 56-го моторизованного корпуса.

Бои в районе Вязьмы, затем под Москвой.

В 1942 году — бои в районе Ржева.

Состав корпуса

В июне 1941:

В ноябре 1941:

В феврале 1942:

Командующие корпусом

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Литература

  • Georg Tessin: Verbände und Truppen der Deutschen Wehrmacht und Waffen-SS im Zweiten Weltkrieg 1939—1945. Biblio-Verlag, Bissendorf 1973, ISBN 3-7648-0871-3


Отрывок, характеризующий 56-й моторизованный корпус (Третий рейх)

«Chere et excellente ami. Votre lettre du 13 m'a cause une grande joie. Vous m'aimez donc toujours, ma poetique Julie.
L'absence, dont vous dites tant de mal, n'a donc pas eu son influenсе habituelle sur vous. Vous vous plaignez de l'absence – que devrai je dire moi, si j'osais me plaindre, privee de tous ceux qui me sont chers? Ah l si nous n'avions pas la religion pour nous consoler, la vie serait bien triste. Pourquoi me supposez vous un regard severe, quand vous me parlez de votre affection pour le jeune homme? Sous ce rapport je ne suis rigide que pour moi. Je comprends ces sentiments chez les autres et si je ne puis approuver ne les ayant jamais ressentis, je ne les condamiene pas. Me parait seulement que l'amour chretien, l'amour du prochain, l'amour pour ses ennemis est plus meritoire, plus doux et plus beau, que ne le sont les sentiments que peuvent inspire les beaux yeux d'un jeune homme a une jeune fille poetique et aimante comme vous.
«La nouvelle de la mort du comte Безухой nous est parvenue avant votre lettre, et mon pere en a ete tres affecte. Il dit que c'etait avant derienier representant du grand siecle, et qu'a present c'est son tour; mais qu'il fera son possible pour que son tour vienne le plus tard possible. Que Dieu nous garde de ce terrible malheur! Je ne puis partager votre opinion sur Pierre que j'ai connu enfant. Il me paraissait toujours avoir un coeur excellent, et c'est la qualite que j'estime le plus dans les gens. Quant a son heritage et au role qu'y a joue le prince Basile, c'est bien triste pour tous les deux. Ah! chere amie, la parole de notre divin Sauveur qu'il est plus aise a un hameau de passer par le trou d'une aiguille, qu'il ne l'est a un riche d'entrer dans le royaume de Dieu, cette parole est terriblement vraie; je plains le prince Basile et je regrette encore davantage Pierre. Si jeune et accable de cette richesse, que de tentations n'aura t il pas a subir! Si on me demandait ce que je desirerais le plus au monde, ce serait d'etre plus pauvre que le plus pauvre des mendiants. Mille graces, chere amie, pour l'ouvrage que vous m'envoyez, et qui fait si grande fureur chez vous. Cependant, puisque vous me dites qu'au milieu de plusurs bonnes choses il y en a d'autres que la faible conception humaine ne peut atteindre, il me parait assez inutile de s'occuper d'une lecture inintelligible, qui par la meme ne pourrait etre d'aucun fruit. Je n'ai jamais pu comprendre la passion qu'ont certaines personnes de s'embrouiller l'entendement, en s'attachant a des livres mystiques, qui n'elevent que des doutes dans leurs esprits, exaltant leur imagination et leur donnent un caractere d'exageration tout a fait contraire a la simplicite chretnne. Lisons les Apotres et l'Evangile. Ne cherchons pas a penetrer ce que ceux la renferment de mysterux, car, comment oserions nous, miserables pecheurs que nous sommes, pretendre a nous initier dans les secrets terribles et sacres de la Providence, tant que nous portons cette depouille charienelle, qui eleve entre nous et l'Eterienel un voile impenetrable? Borienons nous donc a etudr les principes sublimes que notre divin Sauveur nous a laisse pour notre conduite ici bas; cherchons a nous y conformer et a les suivre, persuadons nous que moins nous donnons d'essor a notre faible esprit humain et plus il est agreable a Dieu, Qui rejette toute science ne venant pas de Lui;que moins nous cherchons a approfondir ce qu'il Lui a plu de derober a notre connaissance,et plutot II nous en accordera la decouverte par Son divin esprit.